«Allez les filles, on part» ! Participer à l’aventure qu’est l’installation de la grande tente… Courir partout et rencontrer d’autres enfants, se serrer dans la tente quand il pleut, squatter des cen…
Je ne sais pas trop quoi en penser. Je n’ai pas la “culture camping” (jamais parti en camping avec mes parents), j’y vais aujourd’hui occasionnellement… et je pense qu’en réalité il y a différentes sortes de “vacances camping”. De mon côté, c’est plutôt des vacances en itinérance (cet été par exemple, trip dans le sud de la France, on va faire 6 ou 7 campings en 2 semaines. Chaque fois des étapes de quelques nuits, ou on ne « profite » pas réellement du camping ni de l’ambiance, on y est principalement pour dormir…).
Mais c’est vrai qu’il y a clairement un dépaysement dans le camping, et également une promiscuité, comme décrit dans l’article, qui pousse à créer des interactions sociales plus « facilement » que le reste du temps.
Toujours épaté de voir que les mêmes personnes qui le reste de l’année se méprisent, se passent devant dans les files d’attente, s’insultent au volant ou se garent en double file dans l’irrespect le plus total du reste de leurs congénères, vont durant 2 semaines de vacances créer des liens avec de parfaits inconnus, s’entraider sans rien attendre en retour, vivre en fin de compte en communauté. L’analyse sociologique du camping est définitivement un beau sujet d’étude 😄
En vrai je trouve l’article très intéressant. Et d’ailleurs l’analyse plus détaillée sur laquelle est basé cet article, Le camping ou la meilleure des républiques. Enquête ethnographique dans l’île de Noirmoutier est également intéressante et agréable à lire.
Je ne sais pas trop quoi en penser. Je n’ai pas la “culture camping” (jamais parti en camping avec mes parents), j’y vais aujourd’hui occasionnellement… et je pense qu’en réalité il y a différentes sortes de “vacances camping”. De mon côté, c’est plutôt des vacances en itinérance (cet été par exemple, trip dans le sud de la France, on va faire 6 ou 7 campings en 2 semaines. Chaque fois des étapes de quelques nuits, ou on ne « profite » pas réellement du camping ni de l’ambiance, on y est principalement pour dormir…).
Mais c’est vrai qu’il y a clairement un dépaysement dans le camping, et également une promiscuité, comme décrit dans l’article, qui pousse à créer des interactions sociales plus « facilement » que le reste du temps.
Toujours épaté de voir que les mêmes personnes qui le reste de l’année se méprisent, se passent devant dans les files d’attente, s’insultent au volant ou se garent en double file dans l’irrespect le plus total du reste de leurs congénères, vont durant 2 semaines de vacances créer des liens avec de parfaits inconnus, s’entraider sans rien attendre en retour, vivre en fin de compte en communauté. L’analyse sociologique du camping est définitivement un beau sujet d’étude 😄