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Cake day: February 6th, 2025

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  • Gros weekend de Pâques en perspective : on descend chez mes parents avec Minienous, il y aura mon frère et sa compagne, ainsi que ma grand-mère, ma cousine et ses parents et son autre grand-mère ! Minienous va sûrement faire sa première chasse aux oeufs (2 ans et demi) dans le jardin de mes parents pour leur plus grand bonheur.

    Sinon c’est aussi gros weekend de Formule 1 et Formule 1 Academy. J’espère que Doriane Pin est en forme pour réaliser une aussi bonne course que l’année dernière 🏎️🏁👊🇫🇷



  • cnovel@jlai.lutoJardin@jlai.luJardinage de la semaine #16
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    2 days ago

    Ce sont plutôt des buttes qui sont bâchées, donc pas un gros intérêt de faire une prairie fleurie (et comme dit, on a déjà foule de pissenlits et marguerites), mais on a pris du trèfle pour ne pas avoir que de l’herbe et aussi avoir un peu de couleurs. Un peu plus tôt dans la saison on a les jonquilles sauvages du jardin qui ont fait notre bonheur.



  • Arrache d’une dent surnuméraire hier matin. C’est quand même beau la médecine : acte réalisé dans un petit cabinet, anesthésie locale, rien senti, pas plus de 20 minutes d’intervention. Pour dire : j’ai plus douillé sur le détartrage ! Et là ce matin le trou laissé par la dent commence à bien cicatriser, donc pas de risques d’infection je pense \o/ ça m’a permis aussi de confirmer que mes dents étaient naturellement jaune, vu que la dent extraite était de cette couleur alors qu’elle a percée il y a 3 mois.



  • La tonte de la semaine dernière a fait du bien au jardin : les pissenlits sont en fleurs comme jamais.

    J’ai passé toute la semaine dernière à évacuer un tas de bois formé suite à de l’élagage il y a un an et demi. Point positif : le bois très sec ça se broie très bien. Point négatif : les ronces ce sont les plantes du diable et ça a été un enfer à enlever et évacuer (même les doubles gants anti épines n’ont pas suffit à ne pas se faire piquer).

    Le jardin ressemble donc enfin à quelque chose. Il faut encore qu’on arrache les quelques bâches anti herbes que les précédents proprios avaient mises, et qu’on plante de l’herbe et du trèfle. J’ai du temps cet aprèm, je vais essayer de m’en occuper malgré la pluie.














  • Je l’ai testé pendant une semaine, ce n’est pas au niveau de Google Maps.

    • la géolocalisation est bancale : l’App a insisté pendant 1h (!) que j’étais dans mon ancien logement alors que non, sûrement à cause du nom du réseau WiFi. Si je comprends cette erreur, elle aurait dû durer 2 minutes, pas une heure.
    • beaucoup de points d’intérêts manquants, je pense que même OSM fait mieux
    • recherche des points d’intérêts plus difficile que dans Maps

    Il faudrait un gros effort gouvernemental/européen pour que ça remonte au niveau de GMaps.

    Une fois encore, la grosse valeur de GMaps n’est pas la navigation (ça tout le monde sait faire) mais les points d’intérêts et leur recherche. Sur ce point là ils sont absolument imbattables et à des kilomètres de la compétition.




  • Morceaux choisis

    Les chercheurs ont examiné les données d’usage des semences Bt et des dégâts sur les racines de maïs dans 10 Etats de la Corn Belt de 2005 à 2016. Grâce à ces informations, ils ont pu conduire une analyse coût-bénéfice et documenter une situation qui peut sembler paradoxale. Entre 2014 et 2016, le taux de recours au maïs Bt contre la chrysomèle est semblable dans toute la Corn Belt, alors que la pression du ravageur est bien moindre dans l’est de cette grande zone de production du maïs américain. Dans ces zones, les agriculteurs perdraient de ce fait en moyenne 99 millions de dollars par an, par une dépense excessive en semences équipées de traits de résistance, alors que la présence de ravageurs ne le justifie pas. Par exemple, dans l’Indiana, le bénéfice offert par ces semences Bt ne couvre en 2015 qu’un tiers du surcoût qu’elles représentent.
    Les données que les chercheurs ont pu utiliser sont anciennes et remontent à près de dix ans, or la résistance aux toxines Bt continue à progresser. « Lorsque les toxines Bt actuelles ne seront plus efficaces, il pourrait n’y avoir aucune nouvelle toxine Bt prête à être déployée, expliquent Zachary Brown et Dominic Reisig, tous deux chercheurs à l’université de Caroline du Nord, dans un commentaire publié par Science. Dans ce cas, les exploitants retourneront probablement vers les insecticides [chimiques], qui posent des risques plus substantiels pour la santé humaine et l’environnement. » Et qui, de surcroît, ont un coût économique tout aussi substantiel.
    […]
    « Cela ne veut pas dire que le maïs américain, en monoculture ou en rotation avec le seul soja, n’a pas d’impact sur l’environnement, dès lors qu’il repose sur des cultures Bt, précise Mme Desquilbet. De manière générale, ces systèmes agricoles ne sont durables ni socialement ni écologiquement. Ils appauvrissent les sols, polluent les ressources en eau, chargent les fleuves en nitrates qui se retrouvent dans les zones marines côtières, etc. »
    Un aperçu des usages finaux du maïs, Bt ou non, aux Etats-Unis est d’ailleurs, à lui seul, un aperçu de la non-durabilité de l’ensemble du système dans lequel s’intègre la maïsiculture américaine : 46 % sont destinés à l’alimentation animale, 43 % aux biocarburants et 3 % finissent raffinés en sirop de glucose-fructose – un sucre bon marché, utilisé dans l’alimentation ultratransformée et reconnu par les nutritionnistes comme une catastrophe sanitaire, puisqu’il est addictif, n’apporte aucune satiété et est de surcroît fortement obésogène. Et ce, qu’il soit produit avec ou sans OGM.

    L’article n’est pas anti-OGM, d’ailleurs je pense que les auteurs du rapport initial non plus. Mais ils mettent en évidence que les agriculteurs ont trop recours à ces semences OGM même lorsque non nécessaire, ce qui favorise l’apparition de résistances chez les insectes et donc pose un risque moyen-terme quant à l’efficacité de ces semences - avec tout le risque économique que ça entraîne.