Je fais des BD avec des saucisses, des musiques sur la cuisson des pâtes, des vidéos où j’imite Bourvil, je code des bots de jeux de mots (et même un jeu Playdate), et j’ai passé six mille heures sur ma Switch.
PP par @Copainduweb
Compte secondaire (pour bridger avec BlueSky) : @desmu
J’ai beaucoup aimé Undertale, mais le format épisodique ultra-espacé de Deltarune est vraiment difficile à suivre. J’avais complètement oublié le contenu du chapitre 1 au moment de faire le 2, et là j’ai complètement oublié le contenu des deux premiers chapitres.
Si l’avenir me le permet, je pense que j’attendrai que le jeu soit complet avant de le retenter, ce sera moins frustrant.
C’est à relativiser, le jeu est au minimum en développement depuis 2018, les deux premiers chapitres seuls dépassaient Undertale en durée, le jeu comporte désormais quatre chapitres (il me semble qu’il en comptera sept), et il n’y aura pas de surcoût pour les prochains chapitres.
La Switch est de loin mon support de jeu principal, la sortie de la Switch 2 est imminente, Mario Kart est un de mes jeux de cœur. Ça va me coûter une blinde mais c’est un achat logique.
Je pense aussi prendre Fast Fusion, le jeu de course futuriste. J’ai fait les précédents sur Wii U et Switch 1, c’est une série de jeux tiers mais exclusifs aux consoles Nintendo, qui sont beaux et optimisés. C’est pas Wipeout ou F-Zero mais c’est très bon quand même.
Je n’ai pas regardé la vidéo parce que le titre me fait souffler du nez. Je sais que c’est devenu un standard même pour les bons vidéastes de dévaloriser automatiquement leur travail en leur accolant des titres de merde mais supposément bien référencés, mais sur une chaîne que je connais pas, c’est un répulsif pour moi.
Ça plus le fait de “ridiculiser l’industrie” qui ajoute une toxicité inutile. Valoriser un jeu doit-il forcément passer par l’antagonisation des autres ?
J’ai fait Lorelei and the Laser Eyes : on enquête dans un hôtel bourré de mécanismes d’ouverture à base de jeux de chiffres dans l’optique de déverrouiller un vieil ordinateur caché au sous-sol.
Ça dure une vingtaine d’heures, les énigmes sont pas trop difficiles, et l’univers autour est bourré de mystères embourbés sous plusieurs types de mythes et faits surnaturels cassant parfois les règles de ce qu’est un jeu vidéo. C’est plein de twists et l’histoire propose plein d’interprétations.
Reigns, c’est ce jeu de gestion de royaume au swipe sur une pile de cartes qui avait bien cartonné. Je l’avais fait ainsi que son spin-off Her Majesty il y a longtemps, mais j’ai beaucoup moins entendu parler des opus suivants.
J’avais fait Three Kingdoms le mois dernier, j’ai commencé Beyond Lundi. Finalement, j’ai aussi acheté Game of Thrones, et je jongle un peu entre les trois au final. Chacun apporte une nouvelle mécanique par rapport au Reigns d’origine, c’est une série de jeux sympa.
Je viens de finir Chants of Sennaar. On explore une immense tour hébergeant plusieurs peuples qui ont chacun leur langage.
Un des objectifs est de lister les glyphes utilisés et de comprendre ce qu’ils signifient en les associant à des dessins consignés dans un livre.
C’est très beau, pas très long et pas difficile. J’ai un peu tardé à le faire parce que j’en avais commandé l’édition collector avec le vrai livre du jeu dedans, et la finition est excellente. Aucun regret nulle part.
J’ai joué à “Death Trick : Double Blind”, un visual novel se déroulant dans un cirque des années 50 où le meurtre d’une magicienne a été commis.
On adopte deux points de vue : celui d’une artiste engagée pour se faire passer pour la magicienne sans qui le cirque ne survivrait pas, et celui d’un détective engagé pour trouver la personne coupable du meurtre. Dans les deux cas, il faut collecter des indices avant que le soir ne tombe.
Ça dure 10h, les personnages sont poussés et y’a des twists.
En occase j’aurais dû attendre plusieurs années avant de trouver la console à prix correct, et l’envie de faire le nouveau Mario Kart était de toutes façons trop forte. Je sors d’une semaine de 40h de jeu dessus, il y a des défauts frustrants, mais j’ai dans l’ensemble passé un très bon moment.