Je l’ai peut-être raté, mais je n’a pas vu mentionner de test d’alcoolémie dans le rapport.
Parce que le coup du conducteur (de 45 berges !) qui a une chambre mais, plutôt que de se poser au calme, préfère rester discuter avec des collègues jusqu’à minuit (en plus les heures du déroulé de la soirée sont différentes à chaque fois qu’il est mentionné…), puis « s’assoupit dans les locaux communs » plutôt à nouveau que de regagner sa chambre alors qu’il a les clés dans sa poche, ça pue un peu à ce niveau-là… Quand on me sert ce genre d’histoire, de par mon expérience, j’ai tous les clignotants qui s’allument dans ma tête 🤥
Ça c’est plutôt pour la police/gendarmerie, mais l’entreprise devrait procéder aux siens propres pour avoir des éléments à charge ou à décharge ensuite pour les éventuels sanctions et licenciements. Parce que là, le mec qui se met à pioncer dès qu’on le pose 5 minutes quelques part, ahem, merci… Et j’avais oublié le «il ouvre les fenêtres pour avoir de l’air frais et rester en éveil »… juste avant de se rendormir. Donc sans parler des indices apportés ultérieurement par l’enquête, le mec savait lui-même qu’il était complètement ensuqué, et il aurait fallu vérifier à quel point il n’était pas frais. Et ça permettrait d’éclairer les moyens de contournements des régulations et bonnes pratiques mis en place dans ce genre de situations par ce genre de personne, et voir comment améliorer/renforcer cet aspect dans l’avenir.
À mon avis c’est un problème assez difficile à résoudre, d’un côté l’entreprise veut que la sécurité soit assurée pour s’éviter ce genre d’accidents, d’un autre les trains doivent rouler…
Dans ce cas c’est assez clair que le non respect des temps de repos est en grande partie dûe au comportement du conducteur plus que les contraintes au-dessus. Le métier impose de ne pas s’adonner à des excès inconsidérés même pendant les temps de repos.
Je l’ai peut-être raté, mais je n’a pas vu mentionner de test d’alcoolémie dans le rapport.
Parce que le coup du conducteur (de 45 berges !) qui a une chambre mais, plutôt que de se poser au calme, préfère rester discuter avec des collègues jusqu’à minuit (en plus les heures du déroulé de la soirée sont différentes à chaque fois qu’il est mentionné…), puis « s’assoupit dans les locaux communs » plutôt à nouveau que de regagner sa chambre alors qu’il a les clés dans sa poche, ça pue un peu à ce niveau-là… Quand on me sert ce genre d’histoire, de par mon expérience, j’ai tous les clignotants qui s’allument dans ma tête 🤥
C’est possible qu’il n’y ait pas eu de test, ce n’est pas systématique surtout tant qu’il n’y a pas de dommages corporels.
Ça c’est plutôt pour la police/gendarmerie, mais l’entreprise devrait procéder aux siens propres pour avoir des éléments à charge ou à décharge ensuite pour les éventuels sanctions et licenciements. Parce que là, le mec qui se met à pioncer dès qu’on le pose 5 minutes quelques part, ahem, merci… Et j’avais oublié le «il ouvre les fenêtres pour avoir de l’air frais et rester en éveil »… juste avant de se rendormir. Donc sans parler des indices apportés ultérieurement par l’enquête, le mec savait lui-même qu’il était complètement ensuqué, et il aurait fallu vérifier à quel point il n’était pas frais. Et ça permettrait d’éclairer les moyens de contournements des régulations et bonnes pratiques mis en place dans ce genre de situations par ce genre de personne, et voir comment améliorer/renforcer cet aspect dans l’avenir.
À mon avis c’est un problème assez difficile à résoudre, d’un côté l’entreprise veut que la sécurité soit assurée pour s’éviter ce genre d’accidents, d’un autre les trains doivent rouler…
Dans ce cas c’est assez clair que le non respect des temps de repos est en grande partie dûe au comportement du conducteur plus que les contraintes au-dessus. Le métier impose de ne pas s’adonner à des excès inconsidérés même pendant les temps de repos.